A Cnam Story
Reprenons depuis le début
Chose promise, chose due ! Dans le premier et unique long métrage de ma life (les longs métrages, bah c’est long à faire et c’est long à regarder) il fallait forcément frapper fort dès le début !
Le plus compliqué dans cette tâche de mise en images c’est très certainement la récupération des dites images. On ne pense pas à tout filmer, tout le temps, ni les paysages, ni les gens. Et vous êtes tous très certainement déjà allés à l’école, vous savez que dans une classe, les caractères sont différents, et tout le monde n’est pas à l’aise face à la caméra.
Il n’est pas simple de cerner une personnalité. Dans un groupe tout le monde est différent et tout le monde le cache, la normalité est l’objectif. Mais c’est bien la diversité qu’il est intéressant de mettre en images et c’est souvent ça qu’il est compliqué de capturer.
Ce que j’aime justement dans le montage, c’est qu’on sublime les gens. On sublime les souvenirs. On les rends vivants, et réels, on les fige. On les montre sous un angle que tout le monde n’avait pas. Avec le montage, ce que j’essaye de faire, c’est transformer un moment de vie en souvenir, mais le souvenir que j’aimerais en garder.
Pourquoi le vélo rose ?
Pour l’alcool, les femmes, vous vous doutez sûrement des caractéristiques sous-jacentes – supposées récurrentes – des personnes identifiées. Il est alcoolique, il pécho tout le temps, il fume à outrance. Tout le monde a des secrets, mais une histoire ne se résume pas en une image. C’est volontairement grossier et exagéré, pour l’effet comique ; c’est le secret du voyage, pas le secret d’une vie.
Voilà, mais alors, le vélo rose ? Et ben Benjamin, il avait un vélo rose, le dernier disponible. Et le vélo, il n’en avait quasi jamais fait. On s’est tapé des barres, franchement.
@+ les gens !
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